Dans un post sur sa page Facebook, Abdelhakim Serrar, porte parole de l’ESS, a avoué que lui et ses collègues qui composent le conseil d’administration de l’ESS ont échoué dans leur mission d’attirer les investisseurs.
Le président du conseil d’administration de l’ESS a laissé entendre qu’il ouvrait la porte à un départ dans le cas où une équipe capable de ramener le plus escompté venait à se présenter.
Réel aveu d’échec ou coup de pression, ce qui est sûr c’est que l’Entente a de plus en plus de mal à faire face à la crise financière. Si sportivement, l’équipe réalise une saison aboutie, avec notamment une place de leader de la Ligue 1 et une possible qualification pour les quarts de finale de la coupe de la CAF, mais il n’en demeure pas moins que le nerf de la guerre risque, à terme, de plomber le parcours de la bande à Kouki.
Nassim A.